Boukthir a exprimé son mécontentement à l'égard de la manière dont les prédicateurs accompagnant les pèlerins sont sélectionnés, soulignant qu'ils ne respectent pas les critères requis et qu'ils sont choisis de manière opaque et incompréhensible. Il a également souligné que certains prédicateurs ont bénéficié de plusieurs opportunités de réaliser le pèlerinage, tandis que d'autres n'ont pas eu la chance de le faire pendant toute leur carrière.

D'autre part, l'Association Tunisienne de la Pensée Islamique et des Affaires Religieuses a proposé d'étendre l'utilisation des voyages maritimes en plus des vols aériens pendant la période du pèlerinage, dans le but de soulager la charge financière des pèlerins.

L'association a affirmé que le pèlerinage ne devrait pas être une occasion de commerce et d'exploitation illégitime par les organes organisateurs et le ministère, mais plutôt une opportunité accessible à tous sur un pied d'égalité.