Selon son avocate, Ines Harrath, les médecins s’opposaient à sa sortie en raison de sa détérioration de l’état de santé, qui l’empêchait de marcher depuis deux semaines, en raison d’une grève de la faim. Elle a également dénoncé le refus de transfert en ambulance, affirmant qu’il avait été transporté dans une voiture de police malgré son état.
Béchir Akremi avait été arrêté le dimanche 12 février, et ses avocats pensaient qu’il serait libéré en raison de la fin des délais de détention.