Fidèle à son vieux complice le délicat pianiste Jean-Yves d’Angelo. Et fidèle à un répertoire qui n’en finit pas de nous procurer des émotions fabuleuses. « Une seule journée passée sans elle », « J' t’aimais tellement fort que je t’aime encore », « Les fourmis rouges », « Super nana », « La boîte de jazz », « Joueurs de blues »… Elles sont venues, elles sont toutes là, ses plus grandes chansons livrées dans leur plus simple et sans doute leur plus bel appareil. Quant aux titres un peu moins connus, ils vous chavirent tout autant le cœur. Trois mots à ajouter : merci monsieur Jonasz !