La Tunisie réitère, dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères, sa « vive préoccupation envers les agressions récurrentes et les pratiques provocatrices, contre les civils palestiniens, dans une violation criante des résolutions et traités onusiens et du droit international ».
La Tunisie exprime son « engagement ferme à se tenir aux côtés du vaillant peuple palestinien, en vue de réaliser ses aspirations légitimes à vivre, dans la liberté et la dignité, ainsi que son droit à l’autodétermination, et à l’instauration de son Etat indépendant, ayant pour capitale, al-Quds el-Sherif, » ajoute la même source.
La journée de la terre marque la commémoration des évènements de 1976, où l’entité sioniste a annoncé la confiscation de milliers de dunums de terres à al-Jalil (Gallilée), ce à quoi le peuple palestinien a répliqué par une grève générale ; c’était la première fois depuis 1948 où les Arabes de Palestine organisent des contestations organisées et collectives, en réponse aux politiques sionistes; d’où la centralité de ces évènements dans le conflit autour de la terre.