M. Ben Jeddou a ensuite affirmé que les autorités étaient prises entre deux feux, les laisser partir par respect à leur liberté de circulation et de voyage, ou les en empêcher afin de les protéger. Le choix était d'empêcher ces jeunes de partir, selon le ministre de l'Intérieur.
En ce qui concerne les filles désireuses de partir en Syrie, M. Ben Jeddou a déclaré: "Il y a quelques personnes qui sont parties pour le Jihad sexuel, mais on ne peut parler de fléau, il s'agit de quelques cas isolés". Et d'ajouter: "d'ailleurs tous les pays arabes sont touchés par ce phénomène, et la Tunisie n'en est pas des plus atteints".