Les deux avocats français en charge de ces deux affaires William Bourdon et Jean-Pierre Mignard estiment que les deux dossiers comportent des éléments constitutifs d’un crime international, ce qui automatise officiellement l’internationalisation de ces dossiers, a expliqué M. Laâguili.
Il a noté, également, que l’internationalisation de ces deux affaires, dans le silence de la Troïka, qui a décidé d’omettre les dernières révélations du ministre de l’Intérieur, Lotfi Ben Jeddou, confirmant que le gouvernement était au courant de l’assassinat de Brahmi.