Sans dire si ce mouvement prendrait la forme d'un parti, il a lancé, du balcon de son QG de campagne, à une foule de partisans :
« La nécessité de former ce mouvement, le mouvement du peuple de citoyens, [vise] d'abord à empêcher le retour de la dictature, parce qu'il y a malheureusement parmi ces gens des extrémistes qui veulent ramener la Tunisie au passé, et cela peut constituer un danger pour la stabilité du pays. »
« Nous sommes de nouveau à un carrefour », a encore estimé M. Marzouki, quatre ans après la révolution qui a renversé la dictature de Zine El-Abidine Ben Ali.