A ce titre, Slim Riahi indique que la dernière rumeur publiée contre lui est celle lancée, selon ses termes, par Jeune Afrique autour de poursuites judiciaires menées par les autorités libyennes contre sa personne et ce pour avoir détourné de l’argent appartenant à des proches de Mouammar Gueddafi.
Slim Riahi a indiqué que « ces entreprises de presse vivaient grâce à l’ancien système et s’enrichissaient de l’ancien régime en redorant son blason et en dénigrant l’opposition.
Après la révolution, et avec la disparition de ce système, ces entreprises se sont mises à racketter des personnalités nationales et des hommes d’affaires en les menaçant de ternir leurs images au cas où elles ne verseraient pas de l’argent », qualifiant cela de corruption.
Slim Riahi ajoute que si cela n’est pas possible, ces entreprises font des campagnes élogieuses en contrepartie de versements de certains montants. Campagnes qui s’arrêtent avec l’arrêt des versements, d’après les propos de l’homme d’affaires et président de l’UPL.
Nous ne manquerons pas de relayer toute réponse de Jeune Afrique concernant ces accusations non étayées par des preuves.