« Avoir des rapports sexuels fréquents est associé à un plus grand bonheur, mais ce lien n’est plus aussi marquant lorsque la fréquence est supérieure à une fois par semaine », a commenté la principale auteure de cette étude – publiée dans la revue spécialisée Social Psychological and Personality Science.
Au-delà de l’étude, c’est bien la question (taboue !) de la culpabilité sexuelle qui se pose. A force de dire « Non, pas ce soir, je suis fatiguée » à Chéri, on finit par se sentir coupable. Et on s’imagine déjà que Monsieur ira voir ailleurs dès que la frustration se fera trop importante... Stop. Primo, on ne le répétera jamais assez : la sexualité est un plaisir, non un devoir. Et si ce plaisir n’est pas pleinement partagé par les deux partenaires (pire : si l’un des deux se force), c’est un problème ! Par ailleurs la bonne santé d’un couple ne dépend pas uniquement de sa vie sexuelle : n’oublions pas les mots doux, les petites attentions, les surprises, les textos amoureux…