Ce dernier devait « prendre des dispositions urgentes, face à la gravité de ce signalement pour l’intérêt de l’enfant ».
Le ministère de la Femme révèle, dans un communiqué, que l’identité du père, et de son épouse et leur adresse ont été identifiées en coopération avec les autorités locales.
En coordination avec le parquet, une enquête pour maltraitance d’une fillette a été diligentée, les réquisitions nécessaires, ainsi que les mesures préventives ont été prises, sur la base d’une coordination entre le délégué de l’enfance et la juge de la famille ; une audience est fixée pour aujourd’hui, selon la même source.
Une enquête sociale sur les conditions de la famille de l’enfant a été décidée, en vue de prendre les mesures d’accompagnement nécessaires.
Le ministère salue l’engagement des activistes de la société civile, des journalistes et des utilisateurs des réseaux sociaux, au devoir de signalement, pour alerter sur les cas de violence et de menaces contre les enfants, en affirmant la nécessité de protéger les données personnelles, et de ne pas publier les photos des enfants.
Le ministère remercie les autorités concernées pour leur action rapide, affirmant qu’il ne renoncera pas à son rôle de protection des enfants de toutes les formes de menaces.