Créés en 1930 aux Etats-Unis, les tampons étaient à l’origine composés uniquement de coton. Suite à des problèmes de fuites, les industriels ont décidés d’ajouter à sa composition de la dioxine. Pourtant, cette substance s’est révélé être à l’origine d’une maladie particulièrement rare et grave: le syndrome du choc toxique !
C’est en 1980 que la première alerte sanitaire a été donnée. Le syndrome du choc toxique est en réalité dû à des toxines liées à la prolifération d’un staphylocoque doré. L’utilisation des tampons est une des causes de cette maladie. Cette polémique a donc poussé les industriels a indiqué des précautions d’utilisation : un tampon ne doit pas être utilisé plus de 8 heures.
Une deuxième alerte a eu lieu il y a une vingtaine d’année. Les industriels ayant changé leur méthode de blanchiment, le gaz de chlore a été remplacé par du dioxyde de chlore. L’opération devait exempter le produit final de toute trace de dioxine. Pourtant, des études ont montré la présence de cette substance hautement dangereuse.